Chœur Eolides

Une école de musique & de chant

19 Novembre 2021 – Concert Orphée et Eurydice

Le 19 Novembre prochain, le Chœur Eolides aura le plaisir de vous présenter l’opéra Orphée et Eurydice de Gluck, en version de concert. Version de Berlioz, en français.

  • Orphée : Solène Laurent
  • Eurydice : Anne-Laure Hulin
  • Amour : Clara Penalva
  • Piano : Sophie Lacombe
  • Flûte : Agnès Boursier

Le chœur, les solistes et l’accompagnement instrumental seront placés sous la direction Benjamin FAU.

Le concert se tiendra à 20h à l’église allemande, 25 Rue Blanche, 75009 Paris.

Entrée 15€, tarif réduit 10€. Billetterie sur place ou en ligne : lien vers la billetterie.

Pass sanitaire requis.

27 Juin 2021 – Concert Polyphonies sacrées a cappella

Au programme de ce concert de reprise, des morceaux sacrés de la Renaissance (Lotti, Gabrieli, Corsi, Palestrina) et du 20ème siècle (Poulenc, Thompson, Lauridsen, Vasks).

Rendez-vous dimanche 27 juin à 16h00 à l’église Saint Philippe du Roule

Libre participation aux frais

8 novembre 2020 – Festival Les Zarmoniques de Milly-la-Forêt

– Concert annulé –

En novembre, le chœur Eolides produira son programme de polyphonies sacrées a cappella dans le cadre du festival de musique Les Zarmoniques.

Le concert aura lieu à l’Eglise de Milly-la-Forêt, le dimanche 8 novembre à 16h.

Ce programme est une invitation au voyage et au dialogue entre différentes époques musicales et différentes approches de la musique sacrée. Découvrir l’influence de la musique baroque chez Brahms, les différentes mises en musique d’une même prière (Pater noster et O Magnum mysterium à la Renaissance en Italie ou à notre époque aux États-Unis). Découvrir enfin comment des compositeurs des XXème et XXIème siècle expriment le sentiment du sacré en perpétuant la tradition du chœur a cappella.

Au programme :

Corsi – Adoramus te
Brahms – Motet Op.29 n°1
Gabrieli – Angelus ad pastores ait
Thompson – Alleluia
Lauridsen – O magnum Mysterium
Victoria – O Magnum Mysterium
Palestrina – Pater Noster a 8
Vasks – Pater noster
Lotti – Crucifixus a 8
Poulenc – Salve Regina
Gjeilo – Northern lights
Kaczorowski – Laudate Dominum

Les précautions liées au contexte sanitaire seront assurées, avec distanciation des chanteurs et du public ainsi que port du masque obligatoire.

Entrée libre avec libre participation.

7 novembre 2020 – Concert polyphonies sacrées a cappella

– Concert reporté à une date ultérieure –

Le 7 novembre 2020 à 16h, en l’église Saint-Eugène-Sainte-Cécile dans le 9ème arrondissement de paris, le Chœur Eolides aura le plaisir de vous présenter un programme de polyphonies sacrées de différentes époques, de la renaissance italienne au XXème siècle :

Corsi – Adoramus te
Brahms – Motet Op.29 n°1
Gabrieli – Angelus ad pastores ait
Thompson – Alleluia
Lauridsen – O magnum Mysterium
Victoria – O Magnum Mysterium
Palestrina – Pater Noster a 8
Vasks – Pater noster
Lotti – Crucifixus a 8
Poulenc – Salve Regina
Gjeilo – Northern lights
Kaczorowski – Laudate Dominum

Ce programme est une invitation au voyage et au dialogue entre différentes époques musicales et différentes approches de la musique sacrée. Découvrir l’influence de la musique baroque chez Brahms, les différentes mises en musique d’une même prière (Pater noster et O Magnum mysterium à la Renaissance en Italie ou à notre époque aux États-Unis). Découvrir enfin comment des compositeurs des XXème et XXIème siècle expriment le sentiment du sacré en perpétuant la tradition du chœur a cappella.

Les précautions liées au contexte sanitaire seront assurées, avec distanciation des chanteurs et du public ainsi que port du masque obligatoire.

Entrée libre avec libre participation.

Programme de la saison 2020-2021

Après une fin de saison 2020 quelque peu perturbée par le Covid-19, c’est plein d’entrain que le chœur Eolides reprendra à la rentrée ses activités de répétitions et de concerts.

Le programme 2020-2021 s’articulera en plusieurs périodes :

Polyphonies sacrées a capella : renaissance italienne et moderne américain

Des la rentrée, et sur ses premières semaines de travail, le chœur reprendra et consolidera le programme a cappella dont la préparation avait été perturbée par la crise sanitaire.

Si les conditions le permettent, ce programme sera présenté lors de plusieurs concerts en octobre et novembre 2020.

Gluck – Orphée et Eurydice

A partir du mois de novembre, le chœur se lancera dans la préparation musicale et scénique du célèbre opéra de Christoph Willibald Gluck : Orphée et Eurydice.

Nous présenterons cette œuvre, avec solistes et accompagnement orchestral, lors de plusieurs représentations au mois de mars 2021.

A ce joly moys de may

Pour fêter le mois de mai et le déconfinement tant attendu, nous avons enregistré une version en téléchoeur de “A ce joly moys de mai” de Clement Janequin (1485-1538) !

Nous avons hâte de vous retrouver en concert à la rentrée !

11 et 12 janvier 2020 – Concerts “L’enfance du Christ” de Berlioz

En ce début d’année 2020, le chœur Eolides aura le plaisir de s’associer avec l’ensemble des Concerts Gais, pour vous présenter “L’enfance du Christ” de Hector Berlioz.

Le chœur et l’orchestre seront accompagnés de solistes, et seront placés sous la direction Benjamin FAU.

Deux concerts seront donnés :

  • Le samedi 11 janvier à 20h
  • Le Dimanche 12 janvier à 17h30

au Temple des Batignoles.

Vous pouvez des maintenant réserver vos billets sur le site des Concerts Gais.

Programme de la saison 2019-2020

Pour la saison 2019-2020, le chœur Eolides préparera deux programmes distincts.

La première partie de l’année sera consacrée à L’enfance du Christ, oratorio de Hector Berlioz. Nous présenterons cette œuvre au public lors de deux concerts en Janvier 2020 à Paris, accompagnés pour l’occasion par l’orchestre des concerts gais.

Dans la deuxième partie de l’année, nous nous retrouverons autour d’un programme choral a capella, composé d’œuvres sacrées et profanes de différentes époques.

Voyage en Pologne – concert avec le chœur Tibi Domine

Le chœur Eolides profitera du week-end de la Pentecôte pour découvrir la capitale polonaise, Varsovie. A cette occasion, nous serons accueillis par l’ensemble vocal polonais Tibi Domine.

Nos deux chœurs se réunirons le 9 juin à 19h30 pour un concert en l’église Kościół Najświętszego Zbawiciela.

Brahms – Drei Gesänge op. 42

L’ensemble de trois chansons profanes est composé autour de l’année 1860. Les textes des deux premières pièces sont tirés de poèmes allemands du début du XIXeme siècle. Le texte de la troisième pièce (“Darthulas Grabesgesang” : “Chant funèbre de Darthula”) est quand à lui adapté d’un ancien poème celte.

La partition est à six voix, trois pour hommes et trois pour femmes.

Partition

1. Abendständchen

Hör, es klagt die Flöte wieder,
Und die kühlen Brunnen rauschen,
Golden wehn die Töne nieder,
Stille, stille, laß uns lauschen!

Holdes Bitten, mild Verlangen,
Wie es süß zum Herzen spricht!
Durch die Nacht die mich umfangen,
Blickt zu mir der Töne Licht.

1. Sérénade

Écoute, la flûte émet à nouveau des sons plaintifs,
Et les fontaines fraîches bruissent,
Les sons d’or retombent;
Silence, silence, laisse-nous écouter !

Charmantes prières, tendres désirs,
Comme cela parle doucement au cœur !
À travers la nuit qui m’entoure
La lumière des sons me regarde.

2. Vineta

Aus des Meeres tiefem, tiefem Grunde
klingen Abendglocken, dumpf und matt.
Uns zu geben wunderbare Kunde
von der schönen, alten Wunderstadt.

In der Fluten Schoß hinabgesunken,
blieben unten ihre Trümmer stehn.
Ihre Zinnen lassen goldne Funken
widerscheinend auf dem Spiegel sehn.

Und der Schiffer, der den Zauberschimmer
einmal sah im hellen Abendrot,
nach der selben Stelle schifft er immer,
ob auch ringsumher die Klippe droht.

Aus des Herzens tiefem, tiefem Grunde
klingt es mir wie Glocken, dumpf und matt.
Ach, sie geben wunderbare Kunde
von der Liebe, die geliebt es hat.

Eine schöne Welt ist da versunken,
ihre Trümmer blieben unten stehn,
lassen sich als goldne Himmelsfunken
oft im Spiegel meiner Träume sehn.

Und dann möcht ich tauchen in die Tiefen,
mich versenken in den Wunderschein,
und mir ist, als ob mich Engel riefen
in die alte Wunderstadt herein.

2. Vineta

Du plus profond de la mer
Des cloches vespérales résonnent, sourdes et faibles,
Et nous relèvent la présence merveilleuse
De la vieille et splendide cité enchantée

Englouties au sein des flots,
Ses ruines sont encore dressées.
Ses créneaux laissent des étincelles d’or
Resplendir à la surface de l’eau.

Et le marin, qui a vu le scintillement magique
Un jourdans la lumière claire du soleil couchant,
Navigue ensuite toujours vers le même endroit,
Même si les écueils menacent alentour.

Des profondeurs de mon cœur
Résonne sourdement et faiblement comme des cloches.
Ah, elles révèlent l’existence merveilleuse
De l’amour qui fut le sien.

Un monde splendide y est englouti,
Ses ruines y sont encore dressées;
Ils laissent souvent des étincelles d’or
Scintiller sur le miroir de mes rêves.

Et je voudrais plonger dans les profondeurs,
Me noyer dans le reflet merveilleux,
Et il me semble que les anges m’appellent Dans la vieille cité enchantée.

3. Darthulas Grabesgesang

Mädchen von Kola, du schläfst!
Um dich schweigen die blauen Ströme Selmas!
Sie trauren um dich, den letzten Zweig
von Thruthils Stamm!

Wann erstehst du wieder in deiner Schöne?
Schönste der Schönen in Erin!
Du schläfst im Grabe langen Schlaf,
dein Morgenrot ist ferne!

Nimmer, o nimmer kommt dir die Sonne
weckend an deine Ruhestätte: “Wach auf!
Wach auf, Darthula!
Frühling ist draußen!

“Die (lauen) Lüfte säuseln,
Auf grünen Hügeln,  holdseliges Mädchen,
Weben die Blumen!
Im Hain wallt sprießendes Laub!”

Auf immer, auf immer, so weiche denn, Sonne,
Dem Mädchen von Kola, sie schläft!
Nie ersteht sie wieder in ihrer Schöne!
Nie siehst du sie lieblich wandeln mehr.

3. Chant funèbre de Darthula

Fille de Kola, tu reposes !
Autour de toi les fleuves bleus de Selma se taisent !
Ils te pleurent, toi la dernière
de la race des Thruthil.

Quand renaîtras-tu dans ta beauté ?
Toi la plus belle des belles d’Erin !
Tu dors du long sommeil de la tombe,
loin est ton aurore !

Plus jamais, le soleil ne viendra
t’éveiller à ta demeure : « ouvre les yeux !
Réveille-toi, Darthula !
Le printemps est là !

Les brises murmurent doucement
sur les vertes collines, gracieuse jeune fille,
les fleurs s’agitent !
Dans les bois frémissent les jeunes feuilles !»

Éloigne-toi à jamais, soleil,
de la fille de Kola qui dort !
Elle ne renaîtra plus jamais dans sa beauté !
Tu ne la verras plus jamais se promener gracieusement.

Source

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