Une école de musique & de chant

Catégorie : Actualités

Pourquoi « Eolides » ?

« Les éolides » est un poème parnassien de Charles-Marie Leconte de Lisle (1818 – 1894) extrait des « Poèmes antiques ». Il est composé de vingt quatrains.

C’est ce poème qui,en 1875, inspira à César Franck (1822 – 1890) son poème symphonique du même nom (le quatrième de ses six poèmes symphoniques, genre descriptif alors très en vogue). Davantage qu’à la description pittoresque des filles d’Éole, il s’attache à restituer librement une atmosphère, au moyen de chromatismes et tonalités chaleureuses non dénuées de sensualité.

Voici un lien permettant de consulter un manuscrit de premier jet et qui nous montre la genèse de cette œuvre écrite lors d’un séjour chez des amis dans le Midi, pays de vent ; cette version sera ensuite orchestrée, pour être créée avec succès en 1877 à Paris par Édouard Colonne.

En répète – les photos d’Isaure Lambert

Isaure Lambert, jeune photographe professionnelle, nous fait l’honneur de nous suivre lors de nos prochaines répétitions et concerts. Et voici certaines de ses photos lors d’un dimanche de répétition, il y a quelques jours de cela. Elles sont vraiment très belles. Isaure Lambert a l’œil humaniste et amoureux des visages, des corps et des situations ; elle parvient à saisir la grâce en chacun, la délicatesse en chacune, et le plaisir du chant chez toutes et tous. Encore merci.

Pour voir plus de photos, rendez-vous sur son site : www.isaurelambert.com

Exercices de lecture de notes

Le but de ces exercices est de s’entrainer à dire le nom des notes au fur et à mesure qu’on les lit, et ceci de manière REGULIERE. C’est là le point essentiel. Il vaudra toujours mieux aller lentement mais avec un débit régulier, que de vouloir lire trop vite en butant toute les deux notes…

Il n’y a que trois note à connaitre dans le premiers exercices, puis on en rajoute une quatrième, puis un cinquième etc…

Travail de la clé de Sol (pour les sopranos, altos et ténors)

Travail de la clé de Fa (pour les basses)

Clé de sol

Clé de fa

“Au temps pour moi”

“Au temps pour moi” était utilisé par le chef d’orchestre militaire lorsqu’il s’était trompé dans la reprise d’un mouvement (la musique est alors recommencée au temps désigné par le chef d’orchestre). Cette formule d’excuse d’un supérieur envers ses subordonnés, lorsqu’il a commis une erreur et qu’il la reconnait, est passée par la suite dans le langage usuel tout en gardant l’idée de reconnaitre et de réparer une bévue commise par mégarde.

Il est à noter qu’il faut utiliser “Autant pour moi” s’il est question d’une chose ou d’une quantité identique et non d’une erreur. La plaisanterie ci-dessous souligne cette différence :

  • LE GARÇON DE CAFÉ — Pour Monsieur ?
  • PREMIER CLIENT — Un demi.
  • LE GARÇON — Et pour Monsieur ?
  • SECOND CLIENT — Autant pour moi (un demi)… Euh… Au temps pour moi ! Un café.

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